Permettez-moi de partager une anecdote marquante de ma première campagne municipale en 2014. Un soir, sur une place du marché déserte, j’ai croisé un enfant d’une dizaine d’années. D’une voix tremblante, il m’a lancé : "Pourquoi veux-tu détruire ma maison ? Tu ne nous aimes pas ?" J’ai été stupéfait. Je l’ai rassuré. Évidemment, j’aime tous les Gentilléens et je n’ai l’intention de détruire la (…)